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Eléments
de portage – soutient la voiture Sellette Dossière coulisse dans la sellette, c’est à elle que
sont attachés les bracelets ou les porte-brancards Bracelets de brancards quand il s’agit d’une voiture deux roues,
remplacés par des porte-brancards pour une voiture 4 roues Sangle qui se boucle lorsque l’on garnit et qui
permet de faire tenir la sellette sur le dos du cheval Sous-ventrière qui se boucle au moment d’atteler, après
que les brancards aient été passés dans les bracelets ou les porte-brancards.
C’est une deuxième sangle. Eléments de retenue – retient la voiture dans les ralentissements Croupière sert à maintenir la sellette en place Culeron à une boucle, double boucle ou sans boucle (pas du tout pratique), est la partie qui passe sous la queue du cheval Barre de fesse règle la hauteur de l’avaloire Avaloire s’appuie sur l’arrière main et retient la voiture Courroies de reculement s’attachent sur le brancard en passant par un arrêtoir. Eléments de traction – tire la voiture Bricole et son blanchet s’adapte à de nombreux chevaux. Peut être remplacée par un collier, mais son ajustement ne peut convenir qu’à un seul cheval Surcou règle la hauteur de la bricole, possède deux clefs pour le passage des guides Traits permettent de tirer la voiture en s’attachant au palonnier de la voiture Boucleteau de trait de différentes formes possibles permettant de s’adapter à l’anatomie du palonnier
Eléments de conduite – contrôle le mouvement en avant et la direction Bride munie
d’œillères (ou non) et
généralement d’un mors à gourmette
(coup de poing, liverpool, buxton, anglais, ...) Guides reliant la bouche du cheval au main du meneur assis dans la voiture Et encore … Porte trait petite
courroie permettant de soutenir les traits lors des arrêts ou ralentissements,
s’attachant sur la même boucle que la courroie de reculement. Mécaniquement
parlant :
Lorsque le cheval avance, tout le monde comprend bien que les traits se tendent, et qu’il finit par emmener la voiture avec lui. Lorsque le meneur demande au
cheval de ralentir, la voiture, elle, continue d’avancer jusqu’à ce que les
courroies de reculement se tendent et que l’avaloir s’appuie sur l’arrière
main du cheval. En même temps qu’il ralentit, le cheval retient le poids de la
voiture. Bibliographie : |